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C’est le festival de l’été qu’il ne fallait pas rater ! 
Peut-être avez-vous eu la chance comme moi de pouvoir vous ambiancer à la première édition de du festival itinérant Lollapalooza ! 
Pour ceux qu’il n’ y était pas , petite session de rattrapage ! 

Lolla quoi ? 


Si on connaît tous Solidays, Tomorrowland , Coachella ou encore les Vieilles Charrues, on connaît un peu moins Lollapalooza. Et pour cause, ce festival est surtout connu aux Etats-Unis, son pays de création. 


A l’origine, le festival mettait en avant le Rock alternatif mais depuis quelques année , la pop et la dance ont envahi le festival, donnant à celui-ci une nouvelle dimension. 


Des têtes d’affiche à ne pas rater !

Red Hot ! 

Pour cette édition 2017, de belles têtes d’affiches étaient présentes. 
Il y a les vrais purs fans de rock comme moi qui ne voulaient rater sous aucun prétexte la scène des Red Hot Chili Peppers ! Ce groupe mythique a bercé mon enfance et je me rappelle encore les moments où je chantais seule dans ma chambre, une brosse de cheveux à la main …
Le public entonne les plus grands tubes du groupe : Under the Bridge, Californication , Snow …
Pure communion sur l’hippodrome de Longchamp 
Il a fait chaud , très chaud ce soir-là ! 

Autre genre, autre scène !


Le festival Lollapalooza est hétéroclite. Changement de scène, changement d’univers. 
J’aurais pu vous faire un résumé de la première et de la deuxième journée. Mais je préfère vous parler de mes bonheurs musicaux live. 

J’aime écouter du vieux rap à la française, alors qui mieux de IAM pour cela. Le groupe met Lollapalooza en émoi et fait vibrer le public à coup de Petit Frère ou Je danse le Mia. Vous allez me dire , ça fait dépasser ? Et bien absolument pas, un vrai bonheur de voir ces « papy » du rap, toujours aussi frais et moderne. Ils sont intemporels et surtout vibrants. 

Dans un tout autre registre, j’étais en ébullition totale devant la scène de Martin Solveig. C’est pour moi le Dieu vivant de la french house. Alors avec ces effets de lumière et de confettis, Martin m’a fait danser en plein milieu de Longchamp. Bonheur musical pur, il transmet l’énergie qu’il donne. D’ailleurs, si vous allez le voir prochainement en concert, je viens avec vous ! 

Je pourrais encore vous parler de Liam Gallagher (beauté musicale), des Pixies ( folie musicale) , de London Grammar ( rêve musical ) , de The Roots … mais je voulais faire un apparté sur deux autres artistes qui ne m’ont absolument pas convaincus. 
Lana Del Rey et The Weeknd étaient les plus attendus du festival . Pour ma part, je n’ai pas du tout adhéré à leur live. J’aime écouter leur musique en radio mais je n’ai rien ressenti face à leur scène. Il manquait un truc ! Le petit plaisir musical espéré n’était pas au rendez-vous ! 


Bonheurs musicaux en cabanes


Mais, à l’inverse j’ai ressenti un plaisir musical inattendu dans les cabanes de Greenroom ! Quatre cabanes, quatre ambiances musicales différentes. Elles sont stylées , colorées et surtout donnent envie de danser. On passe d’une ambiance à une autre en un clin d’oeil, comme un voyage musical inter-spatial.
Personnellement, j’ai beaucoup aimé Yard au Coco Beach Hotel mais j’ai été agréablement surprise de découvrir Mawimbi & Pouvoir Magique dans la Cabane Radio Ndebele , que je vous recommande si vous aimez l’afrodance ! 




Bilan Palooza

Pour cette première édition parisienne, le festival a vraiment bien géré. Bon, certains vous diront qu’ils ont fait la file d’attente pour le cashless ( je n’étais pas concernée ) , d’autres vous diront qu’il n’y avait pas assez de toilette ( action-réaction du festival le lendemain, il y en avait plein) mais ils oublient toute l’organisation et la pression d’une première édition : aucune attente à l’entrée , fluidité des scènes, artistes variés et complets, réseau 4G pas mal du tout …
Par contre, je ne m’attendais pas à autant de festivaliers étrangers ! Ca parlait dans toutes les langues, une bonne façon de rencontrer et partager des moments musicaux internationaux. Pendant deux jours, j’avais oublié que j’étais à Paris ! 

Merci à Greenroom pour ce week-end de bonheurs musicaux ! 


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