Pour ce premier article de 2018, je souhaitais bien évidemment vous souhaiter une HEUREUSE année .
Alors, je pourrais également vous souhaiter du bonheur à foison, une bonne santé, plein d’argent et d’amour.
Mais en vrai, pour cette année 2018, je préférai vous souhaiter davantage de sérénité et un retour aux sources.
Cette année 2017, j’ai eu 30 ans et si je fais le bilan de ces 30 années, un seul mot me vient à l’esprit : RALENTIR.
Je n’ai pas vu les jours, les mois et les semaines défilés. J’ai couru dans tous les sens, fais une multitude de projets sans m’arrêter, sans prendre réellement le temps.
Au final, quand ton corps ne suit plus, tu es obligé de stopper tout ce que tu avais entrepris.
En discutant avec certains d’entre vous, j’ai comme l’impression de ne pas être la seule dans cette situation.
Le déclencheur de cette prise de conscience a été mon voyage en Polynésie. Je crois que je vous en parle beaucoup mais parce qu’il est pour moi un tournant, une aventure marquante dans mon histoire personnelle.
J’ai réalisé mon rêve tant attendu. Depuis toute petite, je rêvais d’y aller.
J’ai réalisé MON rêve. J’ai économisé, fais des choix et réussis à aboutir à ce dont j’aspirais.
En lisant vos commentaires, vous me décrivez la chance que j’ai d’y être allé.
Cela peut être banal pour certains, époustouflant pour d’autres. Une chose est sûre, ce rêve réalisé m’a amené une nouvelle sérénité.
Car elle me pause la question :
» Et après ? « , « Et maintenant ? «
J’ai l’impression d’avoir accompli mon mission de jeunesse, d’être arrivée au bout de quelque chose, d’une quête absolue qui m’animait jusqu’ alors.
Certains rêvent de devenir milliardaires, d’autres d’avoir une voiture de course ou des bijoux en diamant.
Moi, je rêve dans mon hamac à mes futurs voyages.
Ce doux souvenir de Bora Bora me reposant dans un hamac avec une vue incroyable sur le mont Otemanu me hante encore et toujours.
Je ne faisais rien ou presque rien. Cet objet d’une simplicité déconcertante me remplissait de bonheur facilement.
J’en ai vu beaucoup là-bas et j’avais envie de ramener cet art de vivre chez moi à Paris.
L’éloge du hamac
J’ai ainsi découvert Madacha, un eshop qui amène aux voyages et surtout à découvrir des modes de vies des 4 coins du monde. Il correspond absolument aux valeurs que j’essaye de partager avec vous et j’ai craqué pour l’un de leurs hamacs en coton biologique. On est bien loin du hamac industriel sans âme et sans vertu.
Ce hamac dont vous pouvez voir la finesse sur les photos est filé et tissé. Il provient du Salvador utilisant des savoir-faire artisanaux.
En coton écru, il symbolise pour moi le leitmotiv de 2018 : privilégier les savoir-faire et revenir vers plus de simplicité et de sérénité.
Pour 2018, je compte continuer à voyager. Ce qui arrivera ne sera que du plus. Je compte d’ailleurs emmener mon hamac avec moi partout pour me rappeler de prendre mon temps pour profiter.
Il va faire partie de mes essentiels du quotidien et de mes voyages.
Un livre, un ordinateur pour continuer d’écrire sur le blog, à deux ou seule.
Il m’apporte la pleine quiétude qui me manquait dès lors.
Pour 2018, je vous souhaite donc de (re)trouver votre éthique personnelle et votre sérénité intérieure.