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Tristesse Contemporaine est parti à l’assaut des ondes en 2012 avec un premier album produit par Pilooski (Discodeine) avec un son brut et minimaliste, hypnotique, pop et mélancolique. I Didn’t Know, Daytime Nighttime, In the Wake, Hell is Other People… embrasèrent ainsi autant les catwalks (Chanel), les playlists (album plébiscité par la presse), que les scènes de France (en première partie de Pulp à l’Olympia notamment) et ailleurs (la Russie et l’Europe de l’Est n’ont pas été épargnés). Aujourd’hui Tristesse Contemporaine revient avec Woodwork Ep qui annonce un nouvel album en septembre. Amateurs d’Andy Warhol, amateurs de Burger King, et les autres, découvrez Waiting, le premier extrait.
Le Woodwork E.P. est l’acte deux de l’histoire de Tristesse Contemporaine. Un nouveau label, Record Makers et l’affirmation en quatre titres (dont trois inédits) de ce qui constitue son ADN :

Waiting : obsessionnel, hanté, élégiaque, soit l’art de faire danser les morts vivants.

Vampires : à l’ombre des géants de la new wave, une prière minimaliste pour chasser les fantômes.

Woodwork : solaire et languide, l’éloge de la patience selon Tristesse Contemporaine.

Low Tide : retour sur le dancefloor pour une comptine perverse sous stupéfiant. Higher than the sun.

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